Les thérapies de couple, une dernière chance pour surmonter la crise :
PSYCHO - Quand rien ne va plus dans le couple, il est encore temps de s’offrir une dernière chance. Tour d’horizon des thérapies qui peuvent aider à faire repartir la relation du bon pied.
Quand consulter?
Dès lors que les disputes s’enchaînent, quand s’installe l’impression que le duo s’est peu à peu désynchronisé, quand les partenaires ne savent plus vraiment pourquoi ils restent ensemble. «Cette situation est souvent due à l’irruption d’un tiers dans le couple: l’amant ou la maîtresse bien sûr, mais pas seulement, explique Eric Trappeniers, psychothérapeute de couple et directeur des Instituts d’études de la famille de Lille, Toulouse et Luxembourg. Le travail peut lui aussi devenir un tiers si Madame considère par exemple que Monsieur passe plus de temps au bureau qu’avec elle. La naissance d’un enfant peut déstabiliser le couple. Les conflits répétés à propos des beaux-parents sont aussi très souvent sources de conflit!»
Il est à noter que, dans 90 % des cas, c’est la femme qui prendra l’initiative de cette prise en charge, trouvera le thérapeute et prendra rendez-vous.
Dans quel but?
Quelle que soit la méthode choisie, la thérapie n’a pas forcément pour but de réconcilier à tout prix les partenaires, mais de comprendre leurs modes de fonctionnement et ce qui grippe leur relation. Parfois, le couple se retrouve et tisse à nouveau un lien plus profond. Parfois aussi, le travail fait ensemble permet une décision commune de séparation. Dans tous les cas, ce moment de réflexion ouvre une possibilité de repartir dans sa vie amoureuse sur de nouvelles et bonnes bases, seul ou mieux accompagné.
Qui consulter?
Il existe trois grands types de thérapies de couple: l’approche systémique, l’approche psychanalytique et l’approche cognitivo-comportementale. Voici comment ces écoles se différencient.
1. L’approche systémique
«Dans un premier temps, lorsque je reçois un couple, je recueille les événements documentaires : qu’est-ce que l’un reproche à l’autre et réciproquement»
Eric Trappeniers, psychothérapeute de couple
«Elle est centrée sur la relation entre les personnes, donc sur la situation qui pose problème ici et maintenant.», souligne Eric Trappeniers. En thérapie systémique, l’enjeu va consister à pointer les fonctionnements du couple, les blocages, les contradictions et les écueils de la communication. Comment? D’abord par le récit. «Dans un premier temps, lorsque je reçois un couple - qu’il soit hétéro ou homosexuel -, je recueille les événements documentaires: qu’est-ce que l’un reproche à l’autre et réciproquement, explique Eric Trappeniers. Je m’attache à mettre en lumière la construction mutuelle du réel de l’un et de l’autre.» Car il s’agit bien d’une construction, dans la mesure où ce que l’un perçoit de l’autre est fait de ses propres croyances.
Comment ça se passe? Le premier outil de la thérapie systémique est la parole. «Je me considère comme un agent de la circulation de la parole dans le couple, sourit Eric Trappeniers. Au cours de la thérapie, progressivement, les reproches mutuels ne seront plus vécus comme des attaques, mais comme des points sur lesquels travailler». Comment introduire un tel changement? «Ce qui peut faire changer, ce n’est pas seulement la discussion, c’est aussi l’expérimentation de façons différentes de se mettre en relation», poursuit-il. Ainsi, le thérapeute peut donner aux partenaires des tâches dites «paradoxales» à accomplir entre deux séances.
«Par exemple, si un couple a l’habitude de se disputer à table, je vais leur demander précisément de se disputer et de rapporter ce qu’ils ont vécu. Forcément, cela va entraîner chez eux une réaction: “ce n’est pas lui qui va nous dire si nous devons nous disputer ou non“ ou “mais comment est-ce possible de se disputer sur commande?” ou bien ils vont essayer quand-même. Dans tous les cas, ils vont en parler et vivre une expérience commune leur permettant un changement. De même, je peux leur enjoindre de ne pas discuter ensemble de ce qui s’est passé en séance. Ce qui, bien sûr, les incite à échanger!», explique Eric Trappeniers.
«Les gens qui ont une culture thérapeutique n’ont pas forcément besoin de ces exercices. Ils se mettent au travail tout seuls»
Eric Trappeniers, psychothérapeute de couple
Mais il n’emploie pas systématiquement ce type de méthode: «Les gens qui ont une culture thérapeutique n’ont pas forcément besoin de ces exercices. Ils se mettent au travail tout seuls. En revanche, les autres ont besoin d’éprouver. Ils ne veulent pas savoir pourquoi ça ne marche pas entre eux, ils veulent que cela change. Et c’est l’expérience d’autres schémas qui va les aider à changer.» D’autres outils peuvent être utilisés en thérapie systémique: les jeux de rôle, où chacun prend la place de l’autre pour rejouer une scène de la vie conjugale, ou le génogramme, qui permet à chacun de remonter le fil de sa généalogie devant l’autre. selon Eric Trappeniers, «Cet outil est très intéressant, notamment pour les jeunes couples. Il permet de se rendre compte de l’importance de la famille d’origine de chacun dans ses façons d’être et ses croyances.»
Les séances d’environ une heure avec un thérapeute, parfois deux, peuvent être espacées d’une à quatre semaines en fonction du cas. Dans l’intervalle, le couple expérimente la façon dont la thérapie fait évoluer la relation.
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2. L’approche psychanalytique
Cette technique interroge les significations inconscientes des souffrances conjugales. Pour le Dr Eric Smadja, psychiatre-psychanalyste, membre de la Société psychanalytique de Paris et psychanalyste de couple, le couple est une réalité composée de trois secteurs: corporel - puisque nous sommes en présence de deux corps sexués -, socioculturel - qui englobe la façon dont les deux partenaires organisent leur vie ensemble - et, enfin, celui de la réalité psychique.
«Cette réalité comporte donc trois niveaux, fondant ma technique, explique-t-il : le “groupal” qui correspond à ce qui est mis en commun et partagé par les deux conjoints, comme des fantasmes inconscients ; “l’intersubjectif”, lieu chargé d’une forte ambivalence, mais aussi de différences et d’antagonismes entre les deux partenaires, entre les intérêts individuels et ceux de l’autre et du couple, entre le masculin et le féminin ; et enfin le niveau “individuel-intrapsychique”, dans son rapport au couple et à l’autre. Tous ces différents plans ont leur propre temporalité, source supplémentaire de conflit.»
Le couple est donc une machine compliquée. Tout le travail psychanalytique consiste à trouver ensemble les points de friction, de grippage, de frottements à l’œuvre. Le pari étant que, en mettant à jour cette mécanique et ses fragilités, on arrive à mieux identifier et résoudre ensemble les conflits qui surgissent au fil du temps.
Comment ça se passe? Ici, pas de divan, mais une attention portée à l’inconscient, ses processus et ses contenus: symptômes, conflits, fantasmes générateurs d’angoisses, résistances, rêves, etc. Et, bien sûr, le moteur de tout travail analytique: le transfert, c’est-à-dire le déplacement sur la personne de l’analyste d’affects, de fantasmes et de modes de relations venus de l’enfance de chacun des partenaires conjugaux. Ainsi, l’analyste représentera pour eux tantôt une figure maternelle, paternelle, mais aussi fraternelle. Cependant, des mouvements inter-transférentiels ou réciproques sont surtout à l’œuvre entre les deux conjoints. Ils sont constitutifs de leur couple.
Le transfert se conjugue au contre-transfert de l’analyste qui est un espace de réception psychique des mouvements transférentiels, mais aussi un instrument de compréhension et d’interprétation de ceux-ci. L’analyste pourra alors communiquer à ses patients quelques éléments de leur fonctionnement conjugal inconscient. «Les conditions et les deux principes de ce type de travail consistent, d’une part, en une découverte de certains aspects inconscients du fonctionnement conjugal et, d’autre part, en une aide à faire évoluer leur relation, ce qui implique des changements psychiques pour chacun et pour le couple», explique le Dr Smadja. Les séances de 45 minutes à 1 heure sont espacées d’une semaine pendant une durée correspondant aux besoins de chaque couple.
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3. Les thérapies cognitivo-comportementales et interpersonnelle
Il s’agit ici de travailler sur les schémas et les besoins de chacun et du couple. Les «schémas» sont la cible des thérapeutes spécialistes des TCC (Thérapies cognitivo-comportementales). Dans la thérapie interpersonnelle, très connue aux Etats-Unis et introduite depuis peu en France, le paradigme de base est celui de la reconstitution du lien d’attachement sécure. «Cette méthode part des travaux de John Bowlby sur le lien mère-bébé, rappelle le Dr Nicolas Neveux, psychiatre et thérapeute de couple. Schématiquement, le bébé pleure jusqu’à ce que sa mère lui apporte ce dont il a besoin. Lorsque ses besoins physiologiques, mais aussi de présence, sont comblés, alors il se sent en sécurité, se calme et peut se construire sereinement.»
Comment ça se passe?
Le travail est axé sur les comportements et cognitions dysfonctionnels. «Prenons l’exemple d’un couple qui consulte pour un problème sexuel, explique le Dr Neveux. L’homme a par exemple la croyance qu’il doit toujours avoir du désir sexuel. C’est une idée (ou cognition) dysfonctionnelle: elle est fausse et l’empêche de vivre sa sexualité de façon épanouie. Il faudra l’amener à changer cette croyance.»
Ce changement peut intervenir grâce à une prise de conscience et/ou à des exercices proposés par le thérapeute. Dans la thérapie interpersonnelle, il ne s’agit pas de cibler les cognitions mais de reconstituer un lien d’attachement sécure où les besoins de chacun sont compris et respectés. Un exemple simple: Monsieur a besoin d’une heure de tennis par semaine pour décompresser. Madame lui reproche de l’abandonner pendant cette heure. Le travail va consister à évaluer les besoins de chacun et trouver des compromis ensemble. Parfois en utilisant des tâches, parfois non. Les séances qui, en fonction du thérapeute, peuvent durer de trente à soixante minutes, sont espacées d’une à quatre semaines.
Et combien ça coûte?
Les tarifs pour une thérapie de couple varient en général de 80 à 110 euros environ par séance, toutes écoles confondues.
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Le Blog Résolution Thérapie

La Charge Mentale est l’accumulation de tout ce qui doit être pensé, organisé, et anticipé dans le quotidien, pour soi et la famille. La Charge Mentale est comme une liste imaginaire dans notre tête, et cette liste ne diminue jamais : La charge mentale est invisible. Elle peut-être présente chez toutes les personnes, car chacun la gère à sa façon, mais elle a un impact sur les relations de couple, les familles, lorsqu’un sentiment d’inégalité est présent. C’est cette sensation qu’elle repose davantage sur les épaules d’un des deux partenaires, comme une forme d’injustice. Le poids de cette charge est le fait de devoir penser à tout, et la présence de cette liste qui tourne en boucle dans la tête, et qui ne diminue jamais. Selon les Français, la fatigue (73%), le stress (59%) et l’irritabilité (56%) sont les principaux signes d’une charge mentale trop importante. Elle se manifestations sous forme : • D’irritabilité. • D’Impatience. • D’Humeur changeante. • De Sensation d’être dépassé. Elle peut générer : • Une mauvaise interprétation. • Une mauvaise compréhension. • Des difficultés de concentration. • Des problèmes relationnels… Quelques chiffres selon l’IPSOS : • 1 Français sur 2 (41%) associe la charge mentale à la gestion, l’organisation et la planification constantes des tâches domestiques et parentales. • Pour 24% la charge mentale se résume à une « double journée ». • Pour 13% comme l’articulation entre vie professionnelle et vie privée. • 2 femmes sur 3 (63%) considèrent qu’elles sont davantage touchées contre seulement 1 homme sur 3 (36%). • 46% l’associent à l’arrivée de leur enfant. Que faire ? • Observez-vous-Notez-Listez, pour prendre conscience de ce que vous vivez, et visualisez ainsi ce qui vous dérange, vous pèse. • Dialoguez, pour exprimer ce que vous ressentez. Ce sera peut-être l’occasion de vous libérer et de vous rendre compte que d’autres personnes sont dans le même cas que vous. • Lâchez prise, osez demander de l’aide-Déléguez. Acceptez que les choses soient faites de façon différente de la vôtre. • Osez dire « non » écoutez-vous, et détachez-vous du jugement des autres. Acceptez de ne pas être parfait ! Quelque fois même si elle épuisante, elle peut être valorisante car la personne concernée est souvent « la personne qui sait, celle sur qui on peut compter… ». Chez d’autres, elle est associée à différentes croyances comme « Heureusement que je suis là pour le faire, sinon personne ne le fera » Dans les relations de couple, celui qui la subit se sent accablé, tandis que l’autre peut se sentir accusé ou incompris. • Prenez le temps d’échanger sur les différentes tâches, et mettez en avant les priorités de chacun. (N’oublions pas que tout le monde n’a pas les mêmes priorités). Vous pourrez ainsi convenir d’un partage des tâches en fonction de vos possibilités respectives. • Instaurez une nouvelle organisation, et débriefez plus tard sur ces modifications, pour mettre en place des ajustements si besoin afin que celle-ci perdure. N’hésitez pas à vous concerter pour prendre des décisions importantes. • Trouvez un équilibre vie pro /vie perso pour ne pas ramener chez vous les difficultés professionnelles. Débarrassez-vous des obligations que vous vous fixez comme « je dois être un bon papa ou une bonne maman » et reconnectez-vous aux plaisirs, même les plus simples. N’oubliez pas que vous serez dans les meilleures dispositions pour vous occuper de votre enfant si vous prenez soin de vous. Si vous aussi vous estimez que votre Charge Mentale est trop importante et que les personnes qui vous entourent n’en prennent pas suffisamment conscience et cela impacte votre quotidien, n’hésitez pas à me contacter .

Quand les émotions prennent le contrôle de vos relations ! L’Hyperémotivité se définit comme une capacité à ressentir de façon intense une ou plusieurs émotions. Elle se manifeste de façon excessive, même inadaptée. La joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse… vont être perçues de manière disproportionnée par rapport à la situation vécue. Mais il peut aussi y avoir des manifestations physiques comme des rougeurs, des bouffées de chaleur… L’Hyperémotivité peut aussi être une force, et apparaître comme un signal qui va induire une remise en question ou une action positive. Attention de ne pas la confondre avec l’hypersensibilité qui est liée au ressenti par rapport au monde extérieur. Les causes de l’Hyperémotivité sont variables et varient d’un individu à un autre. Elle peut se manifester par des difficultés dans la gestion des émotions, des difficultés dans les relations et quelque fois par la peur de l’abandon, une irritabilité. Une bonne gestion des émotions vous permettra de ne pas mélanger vos propres sentiments avec ceux des autres. Mais bonne nouvelle : on peut apprendre à gérer cette hyperémotivité ! Grace à la thérapie, nous pourrons identifier les déclencheurs de ces réactions fortes, trouver des outils concrets pour mieux gérer vos émotions et apprendre à communiquer différemment pour préserver vos relations. Ne laissez pas vos émotions vous éloigner des autres, parlons-en ensemble ! Prenez rendez-vous dès aujourd’hui pour retrouver votre équilibre.

Vous ressentez une profonde lassitude, les disputes sont fréquentes même omniprésentes. Votre relation de couple est pesante, compliquée et la séparation semble être une évidence, mais le doute est là… Vous êtes certains d’avoir tout essayé pour sauver votre relation, mais aucune amélioration. Qu’appréhendez-vous exactement ? L’idée d’une séparation commence à émerger. De temps en temps pour commencer, puis elle prend davantage d’ampleur pour être ensuite permanente. Cette idée ne fait que détériorer votre relation. Tout ce qui va être dit ou mis en place par la personne avec qui vous vivez ne sera que reproches et mauvaises interprétations. Vous portez à présent un regard négatif sur la personne avec qui vous vivez. Tous les paramètres sont là pour envisager une Séparation, mais une petite voix commence à semer le doute…Elle vous fait ressentir une sensation désagréable, comme une appréhension, une peur, un doute. Mais quoi exactement ? Peut-être : La peur de l’abandon qui crée un sentiment d’insécurité. La peur de faire souffrir . Vous pouvez ne pas avoir envie de faire souffrir la personne qui vous a accompagné pendant un temps plus ou moins long de votre vie. Être à l’origine de la séparation c’est se retrouver face à la douleur, la détresse de la personne qui la subit. Ce sentiment de culpabilité peut-être un frein à la prise de décision. La peur de la solitude qui peut vous amener à rester dans la relation, et de vous satisfaire de peu de choses. La peur de voir la personne refaire sa vie et de devoir l’accepter. C’est une véritable remise en question. La perte de cette sensation d’exclusivité et de se sentir remplaçable. La peur de tout ce qu’on va perdre qui génère un sentiment d’insécurité. Se projeter dans l’inconnu effraye. La peur de prendre la mauvaise décision et d’avoir des regrets, qui cache un manque de confiance en soi. Prenez le temps de vous écouter. La peur d’imposer cette décision aux enfants . La séparation va forcément impacter vos enfants. Restez-vous dans cette relation pour vos enfants ? La peur de ce que les autres vont penser de vous . Lors d’une séparation il est important de s’entourer des bonnes personnes. Ces personnes ne sont pas là pour vous juger mais vous accompagner. A trop se soucier des autres on finit par oublier ses propres priorités. Ces peurs ne sont ni certaines ni prévisibles mais elles peuvent vous empêcher de prendre La Bonne Décision. Il est important de prendre conscience de ses propres besoins, de ses limites et de ses valeurs pour envisager la meilleure solution. Lors d’une séparation, il est préférable de s’entourer d’amis, de proches, de la famille, d’un thérapeute , de toutes les personnes qui pourront vous soutenir dans cette décision importante, dans ce tournant de votre vie. Il est temps aussi de prendre soin de vous, de mettre des choses en place afin que vous puissiez avoir suffisamment d’énergie pour traverser cette épreuve. Vous allez être un peu plus attentif à vous-même et agir en pensant à vous en priorité. Une séparation demande du courage. Une remise en question est nécessaire. La Thérapie de Couple va vous permettre de faire LE BILAN de votre relation et de ne surtout pas prendre de décision dans l’urgence, ce que vous pourrirez ensuite regretter. Il faut se sentir prêt car le parcours est souvent long et semé d’embuches, et elle est pas toujours aussi idyllique qu’on l’image, qu’on l’idéalise. Le temps sera votre allié, il est nécessaire pour que vous puissiez vous retrouver et aller de l’avant. Vous pourrez en sortir grandit et plus forts, afin de ne pas reproduire le même schéma. Si vous vous retrouvez dans cet article, vous pouvez me contacter, et je vous accompagnerai dans cette étape de votre vie ?

Pensez-vous qu’il doit vraiment y avoir un Bon Moment pour commencer une relation ? Est-il possible de démarrer une histoire si tous les paramètres ne sont pas au rendez-vous ? Le bon moment en amour est difficilement palpable. En plus de devoir trouver La Bonne Personne , il faut en plus trouver Le Bon Moment. La réalité prouve que tout de même, l’état dans lequel on se trouve va peut-être favoriser les rencontres et les histoires. Si vous avez vécu une séparation difficile et que vous avez été trahi lors de vos précédentes relations, vous serez sans doute méfiant avant d’ouvrir votre cœur. Vous pourrez avoir plus de mal à vous investir dans une relation, dans un premier temps. Le tout dans un souci de protection. D’où des mécanismes de défense qui seront mis en place, et ils pourront venir « saboter » votre relation. Ils sont un indicateur pour vous éviter de vous retrouver face à vos propres angoisses. Quelque fois, malgré la présence des sentiments, des éléments extérieurs peuvent venir parasiter la relation. Cela peut-être : Une mutation. Un désir d’enfant non partagé. Un décès. Des désaccords familiaux. Des addictions… Face à ces situations, le couple peut être mis à l’épreuve et freiner sa formation ou freiner le désir d’engagement. Il va falloir prendre le temps de réorganiser ses priorités , de façon individuelle mais aussi au sein de la relation. Dans ce dernier cas, une bonne communication est indispensable pour évaluer ensemble la pérennité de la relation. Le temps, les ajustements, les compromis vont être nécessaires, et si cela semble compliqué, insurmontable, au-delà de vos capacités, alors peut-être que le moment n’est pas le bon pour pouvoir vous consacrer pleinement dans cette relation. Vous n’êtes peut-être pas disponible émotionnellement. Attention tout de même de ne pas utiliser tous ces arguments comme prétexte. Une bonne remise en question vous permettra aussi d’être honnête envers vous-même, mais également envers la personne concernée. Pour ne pas foncer tête baissée dans une nouvelle histoire, vous pouvez aussi vous tourner vers le Slow Dating . Le Slow Dating est l’opposé du Speed Dating, il va s’agir de prendre son temps pour faire des rencontres. Des rencontres de qualité au détriment de la quantité. Vous avez sans doute remarqué que la tendance est au lâcher prise, où on vous invite à lever le pied. Le but est que vous preniez le temps d’apprendre à vous connaître, et que le rythme de chacun soit respecté. Vous allez prendre le temps de construire une connexion physique et émotionnelle. Il ne faut pas oublier aussi que si vous êtes certains d’avoir trouvé La Personne Idéale, alors peut-être que vous trouverez des solutions à tous vos obstacles, et ferez en sorte que ce soit le Timing Idéal ! Le plus important reste d’écouter son cœur et ses sentiments. Si vous vous questionnez sur votre avenir, n’hésitez pas à me contacter , je répondrai à toutes vos interrogations.

"L’amour dure-t-il 3 ans ? " Lors des débuts d’une relation amoureuse une « chimie cérébrale »🧠 s’opère. Il y a une libération de dopamine (hormone du bonheur) et de sérotonine (hormone qui agit entre autres sur l’humeur et la libido), ainsi que l’ocytocine (hormone de l’amour). Quand cette première phase aussi appelée lune de miel se termine, ou s’atténue, il y a une baisse de l’intensité amoureuse. Les hormones se sont envolées. Le fantasme devient réalité. Beaucoup de personnes sont dans la désillusion lorsque cette période se termine. Le temps de l’investissement est arrivé. Pendant ces 3 années on peut tenter de déchiffrer quelle forme d’amour on est en train de vivre. ✅Il y a l’amour associé au coup de foudre pendant lequel le partenaire est idéalisé et l’amour plus sincère où le partenaire est accepté avec ses qualités mais aussi ses défauts. Il est temps de faire le deuil du « couple amants ». 🎯 Le cap des 3 ans est la période idéale pour faire le point sur la relation. Passé ce cap, deux options : 👉 Soit la désillusion est trop présente et une séparation s’impose. 👉 Soit une prise de conscience apparaît et il va falloir s’investir dans la relation si ce n’est déjà fait. 🤔 Mais comment faire durer l’amour plus de 3 ans ? Une Bonne Communication au sein de la relation vous permettra d’affronter les difficultés rencontrées et de les surpasser. Être attentif à bien alimenter votre relation surtout ne pas la considérer comme acquise. Une relation s’entretient. N’hésitez pas montrer à votre partenaire qu’il est important pour vous par n’importe quel moyen. L’essentiel est de faire passer le message 📣. Accepter que votre moitié puisse changer. Les étapes, les épreuves, transforment les personnes et vous n’allez peut-être pas évoluer au même rythme . 💡Si vous vivez une période d’interrogation dans votre vie de couple, la Thérapie de Couple peut être La Solution pour vous accompagner dans vos interrogations et vous aider à trouver des solutions. N’hésitez pas à me contacter et nous échangerons sur vos besoins.

Depuis les années 90, les outils de communication ont progressivement envahi les foyers, ce qui a modifié les modes de communication. Près d’un quart (22%) des Français(es) ayant trouvé un partenaire depuis la fin du 1er confinement (mai 2021) l’ont rencontré sur une application de dating, soit deux fois plus que ce que l’IFOP observait quelques mois avant la crise du Covid-19 (11% en janvier 2020). Nous sommes dans un monde hyperconnecté ce qui modifie la façon dont les personnes interagissent. La communication à peu à peu laissée la place à internet. L’introduction des appareils connectés, perçue comme une intrusion pour l’un des deux partenaires, bouleverse la conjugalité. Parfois à trop partager dans la journée, certains couples n’ont malheureusement plus rien à se dire lorsqu’ils se retrouvent le soir. Qui n’a pas entendu « il y a toute ma vie dans mon téléphone ! » Il contient des SMS, des photos, des informations personnelles, même des traceurs. Omniprésent, il envahit les foyers et diminue la disponibilité des personnes entre elles. Qui n’a pas été coupé dans une conversation par l’arrivée d’un appel, d’une notification ou d’un message ? voir article phubing Être connecté n’importe où et à n’importe quel moment peut être à double tranchant. Utiliser le téléphone : 👉 Peut aider à s’évader dans certaines situations, pour oublier quelque chose de désagréable. 👉 Peut faciliter les échanges amoureux ou les informations. Certaines personnes ont plus de facilité à communiquer par message que face à face. Mais attention aux mauvaises interprétations. ❌L’utilisation abusive de smileys et de mots abrégés ont rendu les échanges compliqués et ont aussi éloigné les couples , créant un fossé entre les personnes. ❌Internet à fabriqué une autre sorte d’infidélité, l’infidélité virtuelle. ❌La présence abusive du téléphone est parfois un motif de rupture. L’omni connexion peut réveiller un sentiment de j alousie , une menace, même virtuelle, signe d’un désengagement de la relation . L’usage parfois abusif des réseaux sociaux favorise les différentes comparaisons. Les photos et images postées ne reflètent pas toujours la réalité mais suscitent des attentes élevées par rapport à la relation, ce qui génère de la frustration et une insatisfaction. L’arrivée du numérique et les réseaux de rencontre en ligne facilitent aussi le rencontres et dynamisent les relations amoureuses, créant parfois un « amour virtuel ». 🎯 Afin de préserver sa relation, il est nécessaire d’établir des limites dans l’utilisation des objets connectés. Les temps de qualité et de disponibilité sont indispensables dans toute relation. Si vous avez la sensation que votre relation est impactée par la présence abusive du numérique, je vous propose de me contacter et nous échangerons sur votre situation.

Saviez-vous que la Sophrologie , a initialement été développée dans le milieu médical pour s’étendre ensuite aux domaines du sport et de l' ENTREPRISE ? Le Stress Professionnel peut impacter notre santé et notre efficacité. Les principaux facteurs de stress au travail sont : 👉 Le manque de reconnaissance au travail. 👉 Le manque de soutien. 👉 Le manque de respect. 👉 La difficulté de concilier travail et vie personnelle. 👉 La surcharge de travail. 👉 L’absence de participation aux décisions. 👉 L’ambiguïté des rôles. 👉 Les journées trop longues. 👉 Les responsabilités... La SOPHROLOGIE peut apporter des Solutions rapides et efficaces 🎯 pour mieux gérer le Stress, l’Anxiété et les tensions ressentis par les salariés. Dans quel But ? ✅ Accompagnement du changement (nouvelle équipe). ✅ Nouveau poste, promotion… ✅ Prise de parole en public (trac, émotivité, rougissements, bégaiements, respiration…). ✅ Préparation d’une réunion importante, d’une présentation. ✅ Travail sur la confiance en soi, l’aisance devant un auditoire. ✅ Prise de recul par rapport à une situation. ✅ Aide à la résolution de conflits. ✅ Gestion de la pression (des résultats, de la hiérarchie…). ✅ Gestion d’un échec professionnel. ✅ Lâcher prise. ✅ Se recentrer. ✅ Positiver. ✅ Se détendre. Les séances en entreprise sont le plus souvent, et elles permettent d’atteindre un Objectif Commun 🎯. Si vous pensez que des Séances de Sophrologie seraient un atout pour votre entreprise, n’hésitez pas à me contacter et nous échangerons sur les différentes options pour votre entreprise.

« Je n’ai plus de Libido » C’est une phrase que j’entends souvent pendant mes rendez-vous. Mais que signifie-t-elle ? Tout d’abord, derrière le mot Libido , on retrouve une recherche instinctive du plaisir et, spécialement, du plaisir sexuel, mais aussi il s’agit d’une énergie qui sous-entend les instincts de vie et, en particulier, les instincts sexuels. On parle aussi d’anaphrodisie. La Libido f luctue pendant le cours de la vie. En parler est essentiel, même si le sujet peut être délicat à aborder et être dans le déni ne fera pas évoluer la situation. Selon un sondage ifop réalisé en 2010 sur les Français(es) et la sexualité dans le couple, un(e) français(es) sur deux aurait déjà traversé un problème dans son couple lié à un manque de désir. Comment cela se manifeste ? • Des relations sexuelles moins fréquentes ou inexistantes. • Désintéressement envers les relations intimes, d’où une baisse du désir. • Absence de fantasme sexuels. • Perte du plaisir… Le manque de désir fait partie des principaux problèmes rencontrés dans les relations de couples. On entend par désir ce qui passe par les pensées, comme se sentir aimé, l’imagination, la séduction, l’érotisme. Ce qui peut parfois ne plus exister au fil des années. Quelles peuvent en être les causes ? • Le Stress premier facteur de baisse de la Libido . • La Dépression / Anxiété. • Certains médicaments comme les anti-dépresseurs. • La Fatigue. • Les Problèmes de la thyroïde. • Les Dérèglement Hormonaux, la contraception, la ménopause : L’œstrogène chez les femmes et la testostérone chez les hommes sont les principaux régulateurs de la libido et de l’activité sexuelle. • Les Problèmes Relationnels dus à la routine, au manque de communication, à l’arrivée d’un enfant, à la façon dont vous regardez votre partenaire. • Les Épreuves de la vie comme un décès, le chômage. • Les drogues 💉… Mais alors que faire❓ Dans un premier temps, il va falloir déterminer la cause et pour pouvoir y remédier. • Si elle est médicale, il est indispensable de consulter un spécialiste pour un traitement adapté. De même si elle est d’origine médicamenteuse. • Si elle est due à un problème relationnel, une communication constructive va vous aider à retrouver la connexion utile dans toute relation. Se reconnecter à son permettre permet de libérer de l’ocytocine, hormone de l’amour. 💡 Afin de retrouver le désir, il doit y avoir une implication des deux partenaires, comme un travail d’équipe qui permettra aussi d’instaurer un climat de confiance, et aussi de donner un petit coup de pouce pour raviver le désir ☺️. Il est important de se sentir vivant, et exister aux yeux de la personne avec qui on vit. Cependant, même les couples fusionnels peuvent être confrontés à une baisse de la Libido chez l’un ou l’autre des partenaires. 📣 Osez communiquer sur ce sujet-là, car en parler va permettre d’éviter certains malentendus dans la relation de couple. Ne vous mettez pas la pression, et envisagez ensemble diverses solutions. Si ce sujet est difficile à aborder dans votre relation, je vous propose de me contacter , et ensemble nous pourrons aborder ce sujet. N’oubliez pas que chaque personne est unique, chaque couple vit sa propre sexualité et qu’il est risqué de se comparer à d’autres personnes. Il n’y a pas une sexualité mais des sexualités. ⚠️ Le sexe ne doit pas être une obligation !

Selon l’organisation Mondiale de la Santé, l’activité sexuelle participe à la qualité de vie, car elle est bénéfique à la fois pour la santé mentale et physique. En voici quelques raisons : 👉 Lutte contre les maladies cardiovasculaires : Comme nous le rappelle le Pr François Carré, cardiologue au CHU de Rennes et ambassadeur de la FFC, « les bénéfices d’une activité sexuelle régulière pour le cœur sont multiples : un rapport sexuel représente un effort physique modéré comparable à la montée de 20 marches à bonne allure. Comme toute activité physique, il contribue à muscler le myocarde, c’est-à-dire le muscle cardiaque, ce qui permet d’éliminer les toxines de l’organisme. » 👉 Rend plus intelligent : En 2010, une étude a montré que les neurones des rats ayant des rapports sexuels fréquents voyaient leur zone d'apprentissage et de mémoire s’agrandir dans le cerveau. Contrairement au stress, la notion de plaisir favorise la concentration, un état de bien-être et donc une meilleure concentration. 👉 Rend plus jeune : « Selon une étude menée en 2013 par le Dr David Weeks du Royal Edinburgh Hospital, entretenir une activité sexuelle permettrait d’avoir l’air entre 5 et 7 ans plus jeune que son âge réel. Pourquoi ? Les endorphines qui font du bien et l’activité physique qui stimule la circulation sanguine aident la peau à rester ferme plus longtemps et retardent l’apparition de rides. » 👉 Lutte contre l’insomnie : Après un orgasme, le corps libère des hormones telles que l'ocytocine et la prolactine, qui procurent des sensations de bien-être et de relaxation. Par ailleurs, l'activité sexuelle contribue à diminuer le taux de cortisol, une hormone liée au stress. Ces variations hormonales peuvent ainsi provoquer une sensation de somnolence. L’organisme est ainsi parfaitement détendu et plus propice à s’endormir. 👉 Augmentation de l’immunité : Lors de l'acte sexuel, le corps libère des hormones et des neuromédiateurs tels que les endorphines, la sérotonine et la dopamine. Ces substances contribuent à réduire le stress et à atténuer la déprime. Par ailleurs, un état de bonheur et de bien-être renforce le système immunitaire. Ce processus crée une boucle positive. 👉 Rend amoureux : L'ocytocine, souvent appelée « hormone de l'amour », joue un rôle central dans les relations humaines et le bien-être émotionnel. Cette hormone est libérée en grande quantité lors de moments d'intimité. Elle renforce les liens affectifs, favorise la confiance, et contribue à un sentiment de connexion profond. 👉 Soulage les migraines : Selon une étude, « la jouissance déclenche la production massive d’endorphines, aussi appelées « hormones du bonheur ». Ces neurotransmetteurs, sécrétés par l’hypophyse et l’hypothalamus lors d’un effort physique ou d’une excitation intense, ont des effets proches de ceux de la morphine. Leurs propriétés antidouleurs aideraient donc à dissiper le mal de crâne. » 👉 R end "beau / belle" : Plus une personne a des relations plus elle se sent bien, et cela a un impact sur l’estime et la confiance. Ce qui se vit à l’intérieur se voit aussi à l’extérieur. Je me dois tout de même de mentionner que toute relation doit bien entendu être consentie. Marianne GARCIA, Thérapeute Familial-Conjugal, je me tiens à votre disposition pour toute demande, n'hésitez pas à me contacter.

Dans toute relation, qu'elle soit amoureuse, familiale, amicale ou professionnelle, l'expression de ses Besoins et de ses Émotions est essentielle. Pourtant, ce n’est pas toujours facile, soit parce qu’on ne vous a pas appris, ni montré l’exemple, soit par pudeur, mais aussi par la présence d’un égo quelque fois trop présent. Ce qui vous amène à garder le silence ou à exprimer maladroitement vos ressentis. Alors comment communiquer de manière authentique et bienveillante pour renforcer vos relations et éviter ainsi les incompréhensions ? Tout d’abord, avant de pouvoir exprimer ce que vous ressentez, il est crucial de le comprendre vous-même. Souvent, les émotions sont des signaux indiquant qu'un de nos besoins fondamentaux n'est pas satisfait. Reconnaître vos besoins est aussi une étape clé pour clarifier vos attentes. Par exemple : si vous vous sentez agacé(e) lorsque votre partenaire utilise souvent son téléphone en votre présence, le besoin sous-jacent pourrait être l'attention ou la connexion émotionnelle. Le besoin, contrairement à l’envie est un élément utile pour accéder au bonheur. Émotions et Besoins sont liés car si vous ressentez une émotion désagréable, cela peut signifier que vos besoins n’ont pas été respectés. D’où la nécessité d’identifier ses propres besoins. Une chose est certaine, si vous n’exprimez pas ce qui est important pour vous, votre partenaire ne peut pas le deviner ! (Attention tout de même de ne toujours attendre que votre partenaire y répondre systématiquement). Dans une relation de couple, l'autonomie est un besoin émotionnel essentiel. Être présent pour son partenaire à tout moment est important, mais il est tout aussi crucial de lui offrir de l'espace. Cela permet à chacun de trouver sa place dans le monde et de s'y épanouir. Pour cela il vous faut nécessairement passer par la case « Communication ». Un dialogue constructif nécessite un moment propice. Choisissez Le Moment où vous et votre partenaire êtes calmes et disponibles. Évitez de lancer des discussions importantes sous le coup de la colère ou dans des environnements stressants. (De plus, prendre quelques instants pour respirer profondément peut vous aider à aborder la discussion avec sérénité. La Sophrologie , en tant qu'outil d'apaisement et de recentrage, peut être particulièrement utile pour se préparer à ces échanges). Utiliser La Bonne Communication, dans le sens où vous allez être attentif(ve) à ne pas accuser votre partenaire, afin de pouvoir instaurer un dialogue constructif pendant lequel chacun pourra exprimer ses besoins et ses attentes. Si pour vous ou votre partenaire, exprimer vos besoins et vos émotions est compliqué et que cela met en danger votre relation, n’hésitez pas à me contacter et nous échangerons sur vos difficultés et vos attentes.